Ils font la pluie et le beau temps dans les start-up

Xavier Niel, le fondateur de Free est aussi celui de Kima Ventures, qu’il gère avec son ami Jérémie Berrebi et investit chaque année dans des dizaines de start-up. Pas étonnant que les deux hommes se retrouvent en haut du podium des business angels français, ces investisseurs particuliers qui placent leur argent dans les premiers tours de table de jeunes sociétés.

Derrière le duo, on trouve dans le classement établi avec Fundme.fr, une plateforme de mise en relations en start-uppers et investisseurs, Jacques-Antoine Granjon, le co-fondateur de Vente-privee.com. D’autres personnalités de la sphère internet beaucoup moins médiatisées comme le petit-fils de Norbert Dentressangle, Pierre-Henri Dentressangle ou Laurent Benhamou le fondateur de Monelib font leur entrée dans le Top 10. Sans surprise, la plupart des business angels sont des entrepreneurs qui, une fois fortune faite, réinvestissent une partie de leurs gains dans des jeunes entreprises, soit en direct soit par l’intermédiaire de leur holding personnelle.

Mais il n’y a pas besoin d’avoir fait fortune pour placer son argent dans les start-up, ni d’aller sur des plateformes de crowdfunding. Pour la cinquième année consécutive le magazine Challenges publie une sélection de 100 start-up prometteuses qui cherchent de l’argent, avec les contacts des fondateurs. Un placement qui permet de réduire son ISF mais qui reste, par définition, très risqué.

Retrouver l’intégralité du classement ici:

Méthodologie : A partir des levées de fonds communiquées par le JournalDuNet, Fundme.fr  a établi la liste des 100 principaux business angels français. En cas d’égalité, l’e-reputation des business angels a été prise en compte afin de les départager.

 

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