Une tendance accrue par une offre abondante en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient. La production pétrolière de pays comme l’Irak, la Libye et le Soudan du Sud retrouvant leur vigueur.
Ainsi, vers 16H00 GMT, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 108,05 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, chutant de 11 cents par rapport à sa valeur de clôture de lundi.
Parallèlement, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude (WTI) pour la même échéance perdait 75 cents, à 102,84 dollars, après avoir chuté en début d’après-midi à 102,30 dollar, ce qui correspond à son plus bas depuis le 8 août dernier. C’est désormais le 4ème jour consécutif de baisse pour le WTI.
Autre élément notable : l’annonce faite mardi par l’Arabie saoudite, premier exportateur mondial, laquelle a indiqué qu’elle était prête à compenser tout manque sur les marchés.
Des espoirs de dialogue entre les pays occidentaux et l’Iran laissent quant à eux augurer d’une possible levée de l’embargo sur les exportations pétrolières iraniennes.
Sources : AFP, Reuters
Elisabeth Studer – www.leblogfinance.com – 24 septembre 2013