Cette augmentation significative est surtout marquée sur le segment des investisseurs particuliers qui achètent un logement neuf pour le donner en location (plus 59,4 %). C’est dire que ces résultats traduisent essentiellement les effets du régime Pinel qui a remplacé le dispositif Duflot, trop restrictif pour le marché immobilier locatif.
Mais si le rythme des ventes a augmenté, le nombre des mises en vente de logements connaît une croissance plus lente de seulement 6,5 %. Autre point noir : l’achat d’un logement neuf pour habiter, qui traduit l’accession à la propriété, enregistre une chute de 3,3 % par rapport au premier trimestre 2015. Malgré le très faible niveau des taux des crédits immobiliers.